Sommaire
Réservé aux abonnés | Essayer gratuitement
L'essentiel par l'éditeur
L'économie circulaire, définie par l'Ademe, vise à optimiser l'utilisation des ressources et à réduire l'impact environnemental. La loi Agec impose aux acheteurs publics d'acquérir des biens issus du réemploi ou intégrant des matières recyclées, avec des taux variant selon les produits. Le décret n° 2024-134 élargit ces obligations et introduit des objectifs progressifs jusqu'en 2030. Les acheteurs doivent aussi réduire l'usage de plastiques à usage unique et privilégier les constructions reconditionnées.
S’il n’existe pas de définition officielle de la notion d’économie circulaire, l’Agence de la transition écologique (Ademe) considère que celle-ci peut se définir comme « un système économique d’échange et de production qui, à tous les stades du cycle de vie des produits (biens et services), vise à augmenter l’efficacité de l’utilisation des ressources et à diminuer l’impact sur l’environnement tout en développant le bien-être des individus ».
Autrement dit, l’économie circulaire doit « viser globalement à diminuer drastiquement le gaspillage des ressources afin de découpler la consommation des ressources de la croissance du PIB tout en assurant la réduction des impacts environnementaux et l’augmentation du bien-être ».
En pratique, l’économie circulaire ne se limite pas au seul rec...
Contenu réservé aux abonnés
Si vous êtes abonné, cliquez pour poursuivre la lecture
Il vous reste 85% à découvrir
Poursuivez la lecture
en profitant d'un essai gratuit (offre sans engagement)
Cette fiche est incluse dans l'offre :
Intégral Marchés publics
Versionbeta